estherK

Publié le par June Prune

Pendant que je ne suis pas là (mais pas où, en fait ?), une réponse d'estherK à la chaîne sur la formation des enseignants, publiée en commentaire de la réponse de Disparitus.
La bonne adresse du jour reviendra en même temps que moi.
La phrase de fin n'est pas tout à fait tirée d'une chanson...



Suis totalement d'accord avec Unhuman.
Je regrette le temps (que je n'ai pas connu) où le ministère s'intitulait instruction publique.
Aujourd'hui, nous sommes des éducateurs-psy-un peu profs-médiateur. Le glissement "instruction" "éducation" n'a l'air de rien, mais il est important.
Les lois Chatel font froid dans le dos. Réforme du lycée ahurissante ; collège totalement démuni et incriminé ; perte d'HSE, fermeture des postes...
Enfin, il paraîtrait selon le grand Show de TF1 lundi soir, qu'ils vont titulariser des contractuels... Logique économique. Cela leur revient moins cher de les titulariser que de rouvrir les concours.
Quel avenir ?

Le mauvais prof : celui qui a été premier de la classe. Celui qui impose son autorité sans se questionner sur le rapport prof/élève (old school). Celui qui psychologise tout et cajole trop ses élèves (lui dira ses "petits")

Un bon prof : Celui qui n'a pas été scolaire pendant sa scolarité. Celui qui trie le programme à sa guise en envoyant valser le jargon didactique et méthode de compétences.

Il faut s'interroger sur cette pseudo démocratie qu'est l'école où l'autorité du prof n'est plus vraiment naturelle, où les élèves s'expriment beaucoup mais très mal, où l'adulte est juge et partie.





Intéresser n'est pas le mot exact. Néanmoins nous pouvons y penser.
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