cœur
C'est le centième article ! Je me disais que j'allais faire quelque chose de spécial, mais je manque cruellement d'imagination. Alors voilà, je vais juste dire que je suis heureuse, et que je n'aurais jamais pu imaginer que j'allais être capable d'écrire autant. D'écrire tout court, déjà.
En revanche, je n'avais aucun doute sur ma capacité à citer une phrase de chanson à la fin de chacun de mes articles, une chanson différente à chaque fois, et presque un musicien différent à chaque fois.
En ce qui concerne les bonnes adresses, je savais bien que je ne continuerais pas forcément très longtemps. Donc j'arrête pour l'instant. Vous avez déjà un bon "guide de Paris (et au-delà) vu par une prof de math".
Quoiqu'il en soit, merci, mes chers lecteurs, qui m'étonnez encore à venir me lire si régulièrement. Vous n'êtes pas des millions, mais vous êtes là, et je vous en remercie !
J'ai vu le deuxième conte politique de Franck Lepage et de la Scop Le Pavé, coopérative d'Éducation Populaire. Inculture(s) 1 m'avait déjà fait le plus grand bien. Une histoire de l'Éducation Populaire ("Ils n'en ont pas voulu."), une histoire de parapente, de l'impertinence, un vrai plaisir.
Inculture(s) 2, c'est toujours du parapente, toujours l'Éducation, mais Nationale, cette fois-ci. Ça m'a presque fait fermer ce blog... Franck Lepage dit tout, et moi je n'ai plus rien de nouveau à raconter. Bon, en fait, il lance des pistes de réflexion, pistes que je vais probablement avoir envie d'emprunter ces prochaines semaines.
Par exemple, il affirme qu'"une pédagogie qui consiste à comprendre, plutôt qu'à apprendre par cœur, elle favorise les riches". Non non non ne partez pas, ne tombez pas dans le piège, réfléchissez un peu avant de crier au scandale éducatif, et allez écouter ce conte politique passionnant. Et vous reviendrez après me dire ce que vous pensez du par coeur. Et en plus vous y apprendrez le parapente.
Moi qui ne crains pas les peines cruelles, je ne vivrai point sans souffrir un jour.