livre
J'aime la ville de Montreuil. Je ne la connais pas beaucoup, mais j'y ai toujours passé de bons moments.
Ma première formation pour devenir formatrice d'animateurs de colo s'est passée à Montreuil. Quatre jours où on a fait le tour des restos du quartier de la mairie, cuisines du bout du monde partagée avec d'autres formateurs, autour de conversations passionnantes, aussi diverses que les gender fuckers ou les séjours des directeurs de colo aux urgences quand ils accompagnent des enfants, en passant par les origines de l'éducation populaire. Quatre jours où on a visité certains des fameux ateliers d'artistes de la ville, et où on a assisté à une séance de cinéma au Méliès.
Je suis sûre d'aller à Montreuil au moins une fois par an. Je ne raterais le salon du livre de jeunesse sous aucun prétexte. Encore un samedi où je me suis levée aux aurores, et ça n'a pas été facile ! Faut le vouloir, et je le voulais !
Cette année, j'ai encore été impressionnée par les livres (les œuvres) de Bruno Munari ou de Katsumi Komagata, j'ai eu un vrai coup de c œur pour La Vague de Suzy Lee, je me suis encore amusée à parcourir quelques Tana Hoban, j'ai découvert Kitty Crowther, j'ai lu Petit bleu et petit jaune en italien, Max et les Maximonstres en italien (Nel paese dei mostri selvaggi... rien ne vaut le poétique Where the wild things are, mais la traduction italienne est tellement meilleure que le titre français !), j'ai passé (presque) des heures à observer les chiffres et les lettres au fil des pages d'Anne Bertier... et j'en oublie !
Je découvre encore les grands classiques de la littérature jeunesse. Alors c'est un bonheur. Mais quand on regarde bien, il y a très peu de nouveautés remarquables chez MeMo ou Les Trois Ourses (qui n'étaient même pas au salon...). C'est bien triste. Je suis très loin du milieu de l'édition ou de l'édition jeunesse. Mais je me demande quand même ce qui lui arrive, à l'édition.
Qu'avons-nous vu sinon les vagues.
Ma première formation pour devenir formatrice d'animateurs de colo s'est passée à Montreuil. Quatre jours où on a fait le tour des restos du quartier de la mairie, cuisines du bout du monde partagée avec d'autres formateurs, autour de conversations passionnantes, aussi diverses que les gender fuckers ou les séjours des directeurs de colo aux urgences quand ils accompagnent des enfants, en passant par les origines de l'éducation populaire. Quatre jours où on a visité certains des fameux ateliers d'artistes de la ville, et où on a assisté à une séance de cinéma au Méliès.
Je suis sûre d'aller à Montreuil au moins une fois par an. Je ne raterais le salon du livre de jeunesse sous aucun prétexte. Encore un samedi où je me suis levée aux aurores, et ça n'a pas été facile ! Faut le vouloir, et je le voulais !
Cette année, j'ai encore été impressionnée par les livres (les œuvres) de Bruno Munari ou de Katsumi Komagata, j'ai eu un vrai coup de c œur pour La Vague de Suzy Lee, je me suis encore amusée à parcourir quelques Tana Hoban, j'ai découvert Kitty Crowther, j'ai lu Petit bleu et petit jaune en italien, Max et les Maximonstres en italien (Nel paese dei mostri selvaggi... rien ne vaut le poétique Where the wild things are, mais la traduction italienne est tellement meilleure que le titre français !), j'ai passé (presque) des heures à observer les chiffres et les lettres au fil des pages d'Anne Bertier... et j'en oublie !
Je découvre encore les grands classiques de la littérature jeunesse. Alors c'est un bonheur. Mais quand on regarde bien, il y a très peu de nouveautés remarquables chez MeMo ou Les Trois Ourses (qui n'étaient même pas au salon...). C'est bien triste. Je suis très loin du milieu de l'édition ou de l'édition jeunesse. Mais je me demande quand même ce qui lui arrive, à l'édition.
Qu'avons-nous vu sinon les vagues.